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Lipides : le gras, c’est la vie !

Régulièrement montré du doigt et banni des listes de courses autant que des assiettes, le gras souffre de sa mauvaise réputation et d’une image biaisée. Pourtant, si l’on gratte un peu l’écorce de ces clichés, il est possible de remarquer l’aspect bénéfique de certains gras, parfois même indispensables à notre organisme. Car oui, il ne faut pas oublier que nos cellules étant constituées de gras, nous sommes gras !

Bon gras & mauvais gras

Obésité, cholestérol, maladies cardiovasculaires ou encore diabète et bien d’autres encore, le gras est accusé depuis des décennies d’être responsable de bon nombre de maladies et de sévices infligés à notre corps. Cette idée, ancrée en chacun de nous, est à la fois une vérité et une erreur. Un flou qui trouve son origine dans une erreur courante : mettre tous les gras dans le même panier !

Il n’y a pas, en effet, un seul gras responsable de tous les maux mais plusieurs familles de graisses, que l’on peut diviser en trois grandes catégories. D’abord, les acides gras saturés que l’on retrouve notamment dans les graisses animales (produits laitiers, charcuterie) ainsi que dans les graisses végétales (huiles de coco, arachide, palme). Ceux-ci jouent un rôle non-négligeable sur notre énergie et doivent représenter 25% de nos apports journaliers. Il est toutefois conseillé de les consommer avec modération.

La deuxième famille est celle des acides gras mono-insaturés, qui présentent la particularité d’être très riches en oméga-9. De fait, ils sont notamment nécessaires dans la prévention des maladies cardiovasculaires et du diabète de type 2. Présent notamment dans l’huile d’olive, ces oméga-9 permettent de renforcer son immunité grâce à une alimentation saine et équilibrée. On est ici bien loin des clichés qui décrivent le gras comme une simple usine à maladies. Dans le cadre d’une alimentation saine et équilibrée, les acides gras mono-insaturés représentent 60% de nos apports journaliers.

La dernière famille de graisse va définitivement faire voler en éclats les vieux préjugés tenaces. En effet, les acides gras poly-insaturés, qu’il est recommandé de consommer à hauteur de 15% de nos apports journaliers, sont une richesse pour notre corps et notre santé. La raison principale ? Ils sont riches en oméga-3 et en oméga-6 que notre corps est incapable de fabriquer. Pour assurer un fonctionnement optimal de notre organisme, il est donc primordial de fournir à notre corps ces oméga présents notamment dans l’huile de colza, de tournesol, d’onagre ou encore les noix. Un équilibre entre les oméga-3 et les oméga-6 permet de renforcer notre système immunitaire. Ces omégas sont indiqués pour réduire les symptômes de l’anxiété et de la dépression, prévenir les troubles mentaux ou encore améliorer sa santé oculaire.

Plutôt pas mal pour un composant alimentaire autant dénigré, non ?

À chaque âge ses besoins

Cela tombe sous le sens, mais il est toujours bon de le rappeler : à chaque âge ses besoins. Le métabolisme des bébés n’est pas le même que celui des adultes et il va de soi que l’apport en matières grasses se doit d’être adapté à chaque période de la vie comme à chaque situation.

L’objectif est simple : permettre à toute la population de ne plus être carencé en gras. Car ce dernier permet de renforcer son immunité dans le cadre d’une alimentation équilibrée. Une consommation de produits sains et porteurs des bonnes matières grasses s’avère bénéfique tant pour le corps que pour le cerveau.

Car oui, le gras est essentiel au bon fonctionnement du cerveau grâce au DHA, un acide gras essentiel à tous les êtres humains. Bénéfique pour le cerveau, cet acide gras est aussi nécessaire pour le système nerveux et la vision. Il est particulièrement nécessaire aux enfants, aux personnes âgées ainsi qu’aux femmes enceintes, afin de satisfaire leurs besoins en oméga-3. Présent dans les poissons gras comme le maquereau ou les sardines, le DHA se retrouve également dans certaines huiles de poissons ou d’algues, comme l’on peut en trouver dans les différentes huiles-santé de .nod.

Une carence en DHA peut favoriser l’apparition de maladies neuro-dégénératives comme la maladie d’Alzheimer mais peut également être à l’origine d’une dépression ou d’une anxiété chronique.

C’est parce que nous croyons au pouvoir d’une alimentation saine et au bon sens alimentaire que .nod a donné vie à une gamme d'huiles bio pour chaque moment de notre vie. Des huiles pour couvrir nos besoins nutritionnels à chaque étape de notre existence, de la plus tendre enfance à l’âge des cheveux blancs en passant par l’adolescence et la grossesse. Gourmandes et équilibrées, mélanges de quatre à six huiles bio complémentaires, les huiles .nod apportent à chaque individu la dose de matières grasses dont il a besoin. Pour que plus jamais vous n’ayez à supporter les conséquences d’une carence en gras. Et que votre corps comme votre cerveau tournent à plein régime !

Car le bon gras est un élément indispensable au bon fonctionnement de notre corps. Il est le constituant numéro 1 de nos membranes cellulaires et permet notamment le transport des vitamines A, C, D, K et E. Il est également un acteur de premier plan dans la protection de nos cellules comme dans celle de notre système cardiovasculaire. Alors, il est grand temps de remettre les choses dans le bon sens et de se souvenir que le gras, ce n’est pas la junk food ou la malbouffe. Non, le gras, c’est la vie !

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